Témoignages  de Cyriaque

1. Quel était le problème ?
2. L’évènement déclencheur
3. Décidé à surmonter mes difficultés  par la pratique spirituelle
4. Résumé

1. Quel était le problème?

De nature, j’étais une personne très introvertie, extrêmement timide et tendue, qui ne pouvait pas se mêler avec les autres.

Le problème commença pendant mon adolescence, bien que je ne puisse pas me souvenir exactement quand cela commença. A maintes reprises, j’avais l’étrange sentiment, que j’assistais à des incidents bizarres et que je n’étais pas moi-même. Voici certains des incidents qui ne correspondaient pas à mon caractère.

• Dès fois quand je marchais dans les rues, j’avais l’impression d’être très grand et parfois d’être hors de mon corps.
• Très souvent, quand je marchais dans les rues j’avais soudainement de très mauvaises pensées telles que, pousser ou frapper la personne à côté de moi (quelqu’un que je ne connaissais même pas), ou encore j’avais des pensées sexuelles.
• Quelque fois j’avais de très mauvaises pensées, comme le meurtre.
• Un jour pendant que j’attendais mon tour pour un casting de modèles, je me suis retourné simplement pour regarder en arrière. La fille qui était derrière moi hurla et recula de deux mètres. Elle confia à ses amis que mon regard lui avait fait très peur (généralement Cyriaque a une personnalité très calme). Souvent je ressentais beaucoup de colère en me regardant dans le miroir.

J’avais aussi une dépendance à la cigarette. Je fumais un à un paquet et demi de cigarettes par jour. Quand nous allions à une fête je buvais aussi beaucoup d’alcool avec la cigarette. Très souvent je n’avais ni le désir ni l’envie de prendre un verre, mais je me retrouvais néanmoins en train de boire.

Une autre observation, c’est que fréquemment, je me sentais soudainement très fatiguer, comme si toute mon énergie était épuisée. Je ressentais beaucoup de poids sur mes épaules, comme si je portais la souffrance de quelqu’un d’autre et je ressentais beaucoup de chagrin.

J’avais l’impression que quelque chose n’allait pas en moi. Au début je pensais que je souffrais d’une quelconque maladie. Ensuite, j’ai commencé à penser que j’étais un peu fou. Je ne savais pas comment résoudre le problème, et j’étais réticent d’aller voir un psychiatre.

2. L’ évènement déclencheur

En février 1999, j’ai rencontré Yoya (ma femme depuis 15 ans maintenant) et sa mère Dana. Un soir nous sommes partis dîner dans un restaurant à Milan, en Italie. Dana était assise à ma droite. Au cours de la soirée, Dana commença à devenir nerveuse, car elle avait l’impression qu’un courant électrique désagréable m’entourait. Elle essaya de toucher mon épaule droite et elle sentit comme si le courant électrique qu’elle avait ressenti la brûlait. Elle sentait que quelque chose d’étrange se passait. Puis elle posa sa main au-dessus de mon front à une distance d’environ 10cm. (Plus tard elle me confia qu’elle n’avait aucune idée pourquoi elle avait mis sa main sur mon front.) Toutefois, à ce moment précis, j’étais consumé par une colère inexplicable. Je me suis levé de la table et je suis allé à la salle de bain. J’étais tellement en colère que je voulais briser le miroir.

Deux ou trois jours après l’incident du restaurant, je suis allé avec Yoya à son domicile. Dana m’a dit qu’elle avait demandé à Sa Sainteté le Dr Athavale la raison de ma colère et ce qui m’arrivait. Il avait dit que la cause de ma détresse était due aux corps subtils de mes ancêtres défunts et que je devais répéter le nom du Dieu Datta pour atténuer le problème.

Intuitivement, à ce moment-là, je savais que c’était la réponse que je cherchais. J’ai eu un désir intense de répéter le Nom à la seconde même pour me libérer de ces pensées et comportements erratiques que j’éprouvais. En regardant en arrière, je ne peux expliquer ce désir ardent de répéter le nom du dieu Datta puisque le concept même m’était étranger. Toutefois je me souviens avoir la pensé que je n’avais rien à y perdre en m’impliquant dans la répétition du Nom.

Etant donné que c’était la première fois que j’avais entendu ce Nom, je ne pouvais le répéter correctement, je lui ai donc demandé de l’écrire sur un bout de papier. Puis je suis allé immédiatement à la salle de bain pour être seul afin de pouvoir répéter ce Nom. Quand je me suis assis avec le papier dans mes mains, j’avais une étrange sensation et j’avais du mal à le prononcer correctement.

J’ai donc prié à Dieu, « S’il vous plait mon Dieu, je ne sais pas comment répéter ce Nom. Je vous en prie faites-le pour moi ».

Ma prière fut exaucée immédiatement puisque la répétition du Nom commença automatiquement de l’intérieur. J’ai ressenti une vibration en moi, qui allait très vite, comme une spirale.

Après quelques minutes, je me suis levé et me sentais étourdie. Je ne pouvais même pas me tenir sur mes pieds. Quand je me suis levé pour quitter la salle de bain tout en répétant intensément le Nom, je me suis senti cloué avec force à la porte de la salle de bain. J’ai appellé à l’aide. Dana est arrivée presque immédiatement et elle m’aida à marcher loin de la porte et me dit quelque chose dans un ton affectueux.

L’une des entités en moi répliqua brusquement, ‘’Regarde comme je suis puissant’’.

Moi, personnellement j’avais le sentiment de mesurer huit mètres de haut. A ce moment-là, quelque chose me disait qu’il y avait huit fantômes en moi et que l’un d’eux était le plus fort.

Je l’ai dit à Dana. Puis Dana m’a aidé à m’allonger

3. Décidé à surmonter mes difficultés par la pratique spirituelle

Deux jours plus tard Yoya passait la soirée avec moi. Cette nuit, j’avais le sentiment que le corps subtil de mon ancêtre qui était en moi avait de mauvaises intentions à l’égard de Yoya. Ensuite, le matin j’ai raccompagné Yoya chez elle.

Sur le chemin du retour de chez Yoya, j’avais un désir intense de lutter contre le corps subtil de l’ancêtre qui était en moi. J’ai pris la résolution que je ne m’arrêterais pas tant que je ne serais pas libéré. A ce moment-là, j’étais dans le métro et j’étais très en colère. Quelques personnes s’éloignèrent de moi. La colère en moi était telle que lorsque, je tenais la barre au plafond du métro je sentais  que j’ aurais pu la casser. Intérieurement je compris que l’ancêtre était en colère parce que je décidais de me battre.

J’avais peur, mais j’ai ensuite entendu une voix douce me disant, ‘’Ne t’inquiète pas, je suis avec toi.’’

Même en marchant du métro jusqu’à chez moi, quelques personnes s’éloignèrent de moi. Quand je suis arrivé chez moi je me suis assis sur le lit et j’ai commencé à répéter le Nom de Dieu. En quelques minutes, je me suis effondré et j’ai commencé à me tordre. Après un certain temps je me suis assis et j’ai recommencé à répéter le Nom de Dieu jusqu’à ce que mon corps se soit effondré. J’avais la sensation qu’on soulever mon corps de 20 à 30 cm au-dessus du lit. C’était vraiment sinistre. Je n’avais aucune sensation de mon corps physique mais j’étais conscient que du corps subtil. Je sentais que je subissais une intervention chirurgicale pour m’enlever les corps subtil de mes ancêtres. Au cours de ce processus je ne sentais aucune douleur. J’ai à peine dormi ou mangé. Tout ça dura deux jours ou plus. Puis tout à coup, j’ai senti le corps subtil de l’ancêtre principal quitter mon corps.

Yoya est aussi une aspirante spirituelle qui est guidée dans son voyage spirituel par SSRF. Elle a l’habilité unique de percevoir et de dessiner le monde subtil graphiquement, elle a créés beaucoup de dessins basés sur la connaissance subtile. Yoya a créé des dessins basés sur la connaissance subtile de ce qu’elle a vu se passer sur moi durant ces deux jours. Ces dessins sont une représentation de ce qui s’est passé au niveau subtil et qui à apporter le changement remarquable que cela a produit en moi.

Figure 1

Figure 2

Figure 3

Figure 4

Après la période de deux jours, j’étais complètement épuisé physiquement. Quand j’ai essayé de fumer une cigarette, je n’ai pu en fumer que la moitié et j’ai dû arrêter.

Lentement et progressivement j’ai commencé à me sentir plus léger. Mon habitude de fumer s’arrêta complètement, car je n’en resentais plus le besoin. En même temps les pensées négatives cessèrent de me venir à l’esprit. Je suis devenu plus ouvert et communicatif.

Durant les mois qui suivirent quelques-uns des symptômes précédents ont refait surface. J’ai été informé que j’avais été affecté par tout un lot de corps subtils d’ancêtres. J’ai donc continué le traitement spirituel de répéter 3 mālās (un mala est une chaine de 108 colliers c.à.d. 3 x 108 = 324 fois) le Nom de dieu Datta quotidiennement. Plus tard, la même année en décembre 1999, quand nous avons rencontré sa sainteté le Dr. Athavale pour la première fois à Goa en Inde, il m’a demandé d’augmenter la répétition du Nom jusqu’à 9 malas (9 x 108 = 972) car j’étais sévèrement affecté par les corps subtil des ancêtres.

Dans les mois qui suivirent, j’éprouvais souvent de la détresse mais la différence était que cette fois ci :

• Je connaissais la cause du problème donc je n’ai pas paniqué ou ressentit de l’anxiété.
• Je savais que le remède était la répétition du Nom du Dieu Datta et la science spirituelle derrière lui.

Les symptômes s’atténuaient toujours après la répétition du Nom de dieu Datta. En même temps que la répétition du Nom du Dieu Datta, on m’avait aussi demandé de répéter le Nom de la Vierge Marie comme j’étais catholique de naissance. Je me souviens, que l’on m’avait expliqué la différence entre les deux : la répétition du Nom du Dieu Datta agissait comme une prescription pour atténuer quelques problèmes spirituel spécifiques tandis que la répétition du Nom de la Vierge Marie agissait comme une tonique spirituel en générale.

Lisez notre section sur la répétition du Nom de Dieu

Bien qu’initialement mon esprit fût rempli de doute à propos de la pratique spirituelle, J’ai persévéré dans ma pratique spirituelle de répéter le Nom quotidiennement. Je me souviendrai toujours de la première expérience que j’aie eue et cela ma donné la force de continuer fermement dans cette voie, en sachant que c’est la bonne direction, bien que les premiers symptômes aient disparus depuis bien longtemps.

4. Résumé

• Un problème spirituel commun: Cyriaque avait des diverses difficultés diverses dans la vie, beaucoup d’entre elles étaient attribuées à la détresse par les corps subtils des ancêtres défunts. C’est un problème très commun qui affecte l’humanité toute entière. Nous avons couvert le sujet en détail dans la section sur les problèmes des ancêtres.
• La méthode de diagnostic spirituel: le diagnostic de la cause fondamental de son problème a été fait subtilement par sa sainteté le Dr Athavale sans même le rencontrer. Le moyen d’obtenir une réponse dans le monde spirituelle est décrit dans la section A propos de la recherche spirituelle.
• L’Acceptation: le mérite revient à Cyriaque pour avoir pu accepter les deux,L’effet immédiat du traitement : L’effet immédiat peut être attribué a –
  • Le diagnostic de détresse des corps subtils des ancêtres et
  • Le traitement qui consiste à répéter le Nom de dieu Datta avec un esprit ouvert.
  • Cela fut accepté fut malgré le fait que la mesure spirituelle était étrangère à sa religion et sa culture. Mettant le traitement en pratique immédiatement cela accéléra aussi sa récupération.
  • La justesse spécifique du traitement.
  • La résolution de sa sainteté le Dr.Athavale derrière l’application du traitement de répéter le Nom du Dieu Datta.
  • L’acceptation totale et immédiate et complète du traitement par Cyriaque.
  • A la mise en pratique immédiatement (dés le moment ou il en a eu cette connaissance)
• Éprouver de la détresse après avoir commencé le traitement : la détresse éprouvée par Cyriaque immédiatement après avoir commencé la répétition du Nom de Dieu est une indication que les corps subtils des ancêtres ressentaient de la détresse due à l’énergie divine émanant de la répétition du Nom de Dieu. C’est aussi l’évidence de la justesse du diagnostic et du traitement.
• Arrêter de fumer immediatement : L’incapacité de fumer une cigarette après la mise en application du traitement de répéter le Nom de Dieu et l’abstinence depuis est une indication que le tabagisme était effectivement une manifestation de détresse par les corps subtils des ancêtres. Le corps de Cyriaque avait l’habitude de servir le corps subtil des ancêtres pour éprouvaient l’envie de fumer.

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