1. Introduction sur l’effet spirituel de célébrer le Nouvel An

En pensant au réveillon du Nouvel An, notre esprit évoque des scènes avec un groupe d’amis et des membres de la famille qui batifolent, dansent et se réjouissent, tout en faisant sauter les bouchons de champagne; il y a de l’alcool qui coule à flot avec un éventail de plats gastronomiques prêts à être servis, et bien sûr, le feu d’artifice! C’est également le moment de revenir sur l’année écoulée et de nous rappeler les incidents et les souvenirs doux-amers. Et comment ne pas parler de la traditionnelle « résolution du Nouvel An » ? Le Nouvel An est également l’occasion de prendre ces résolutions – bien que certaines soient nouvelles, la plupart d’entre elles sont les mêmes qu’auparavant– des choses que nous nous engageons à concrétiser au cours la nouvelle année qui arrive dans quelques minutes. Et puis, l’horloge sonne les 12 coups de minuit !

Il est intéressant de noter que, même si la soirée du 31 décembre est considérée comme une période de réjouissance et de célébration à travers le monde, la sélection du jour du Nouvel An est essentiellement arbitraire. En fait, en 46 av. J.-C., Jules César a décidé que le Nouvel An – que l’on célèbre aujourd’hui – commencerait le 1er janvier. Même à cette époque-là, la date des célébrations du Nouvel An restait assez incohérente, jusqu’à l’apparition du calendrier grégorien en 1582.

À toutes fins utiles, la veillée du Nouvel An, reste juste la transition d’un jour de semaine vers un autre; cependant, pour des raisons inconnues, nous avons été conditionnés à penser que l’occasion devait être célébrée avec ferveur. Bien que les façons de célébrer soient nombreuses – il suffit de se rendre à la fête la plus prisée du réveillon du Nouvel An, dans la discothèque la plus branchée et/ou d’ouvrir les canons de confettis, de s’amuser avec les feux d’artifice, d’organiser une fête à la maison ou de s’envoler vers une destination touristique de choix – le véritable motif est plus ou moins le même: manger, boire, danser et s’amuser comme si il n’y avait pas de lendemain. En revanche, certains choisissent un moyen plus pieux de célébrer le Nouvel An, par exemple en assistant à la messe de minuit dans une église.

Le moment choisi pour célébrer le Nouvel An à minuit est toutefois très étrange et spirituellement préjudiciable. C’est l’heure où les activités des énergies négatives sont à leur apogée. Ainsi, alors que les gens affluent vers différents endroits pour célébrer la venue du Nouvel An, il est également probable qu’ils soient affectés par les énergies négatives.

Le lendemain, une fois la fête terminée, nous retournons tant bien que mal à notre routine. Pour beaucoup de fêtards, se remettre de la gueule de bois du lendemain, est une priorité. Cependant, y a-t-il un impact qui est plus important que ce que nous pouvons percevoir physiquement et psychologiquement? Beaucoup de nos choix ont le potentiel de nous affecter au niveau spirituel. SSRF et l’Université de la Spiritualité (Maharshi Adhyatma Vishwavidyalay ou MAV) ont choisi de mener des recherches spirituelles sur les célébrations du Nouvel An, afin d’éclairer davantage sur leurs possibles effets spirituels.

2. L’histoire de l’Université de la Spiritualité (Maharshi Adhyatma Vishwavidyalay)

L’Université de la Spiritualité (également connue sous le nom de Maharshi Adhyatma Vishwavidyalay est située à Goa, en Inde. L’Université de la Spiritualité et la Fondation de Recherche de la Science Spirituelle sont des organisations à but non lucratif, gérées par des volontaires du monde entier qui se consacrent à un objectif commun, à savoir le progrès spirituel et la quête de la vérité. L’un des objectifs clés des deux organisations est d’analyser et d’évaluer comment nos décisions et nos routines quotidiennes peuvent nous affecter au niveau spirituel. À cette fin, les équipes de recherche mènent divers expériences et projets de recherche au Centre de Recherche Spirituelle et Ashram de Goa, en Inde. Jusqu’ à 2019, l’équipe de recherche spirituelle de l’Université de la Spiritualité compte 38 années d’expérience dans la recherche spirituelle.

3. Expérience visant à étudier l’effet de célébrer le réveillon du Nouvel An dans un bar et restaurant populaire

3.1 Contexte et objectif

L’équipe de recherche spirituelle voulait étudier l’effet subtil d’être de sortie pendant la nuit du Nouvel An. Bien que les gens puissent choisir de célébrer la nouvelle année de différentes manières, l’équipe de recherche a exploré l’effet de l’une des formes les plus courantes de célébrer le Nouvel An, qui consiste à assister à une fête dans une boîte de nuit. Le concept du Nouvel An est censé être un moment de réflexion et de renouveau et, d’un point de vue spirituel, cela marque le début d’une autre année qui nous est donnée pour réaliser notre véritable objectif de la vie. Il est donc considéré comme un moment propice de l’année.

Les célébrations coutumières de la nouvelle année, correspondent-elles au caractère auspicieux de l’occasion ? Ces célébrations nous aident-elles, d’une manière quelconque, à atteindre le but de la vie, qui est de progresser spirituellement et de compléter notre destin ? Les célébrations devraient au moins ne pas empirer notre état spirituel.

• En se fondant sur ces questions, l’équipe de recherche a mené une expérience. L’équipe voulait comprendre comment les personnes prenant part aux célébrations du Nouvel An étaient affectées au niveau spirituel.

Méthodologie

Douze aspirants spirituels du Centre de Recherche Spirituelle et Ashram ont pris part à cette expérience. Ils ont été invités à assister aux célébrations du Nouvel An dans un bar et restaurant populaire de Goa, en Inde, en 2019. Le bar et restaurant choisi pour cette expérience a une très bonne réputation, et attire des personnes parmi les couches aisées de la société. Les aspirants spirituels ont reçu pour instruction de se comporter comme n’importe quel fêtard et de se plonger dans les célébrations.

A. A propos des aspirants spirituels qui ont participé

• Tous les aspirants spirituels participants ont pratiqué la Spiritualité de manière régulière, et sont donc à un niveau spirituel qui est supérieur à la moyenne. Cela signifie que, s’il y a une détresse spirituelle dans l’environnement pendant les célébrations, ils seraient mieux préparés à contrecarrer ses effets, qu’un citoyen ordinaire.
• Parmi le groupe des 12 aspirants spirituels, certains souffraient de détresse spirituelle, et d’autres n’en souffraient pas, ce qui signifie qu’ils étaient spirituellement positifs. Reportez-vous à l’article intitulé « Qu’est-ce que la détresse spirituelle ? » La raison pour laquelle le groupe était composé de ces deux types d’aspirants, est qu’une grande partie de la population mondiale souffre de détresse spirituelle, et qu’il était important de comprendre la différence de l’effet de ces célébrations sur les deux types d’aspirants.

B. A propos de l’instrument utilisé pour l’expérience

L’équipe de recherche spirituelle a utilisé leur sixième sens avancé, ainsi qu’un scanner d’aura et d’énergie, appelé « Thermo Scanner Universel (UTS) » pour analyser l’effet de la célébration du réveillon du Nouvel An dans un bar et restaurant populaire.

Le « Thermo Scanner Universel (UTS) » (aussi appelé Scanner à Aura Universel) a été utilisé pour prendre des lectures sur les aspirants spirituels participant à l’expérience. L’UTS est un instrument mis au point par le Dr Mannem Murthy (un ancien scientifique nucléaire), et il est utilisé pour mesurer l’énergie subtile (positive et négative) et l’aura autour de tout objet (vivant ou non vivant). Les lectures de l’UTS ont fourni des données sur l’aura négative, l’aura positive et l’aura mesurée autour des aspirants spirituels. Veuillez consulter l’article intitulé – la Méthodologie des lectures UTS pour en savoir plus sur la manière dont les lectures UTS sont effectuées et sur leur interprétation (à venir).

C. A propos des lectures et du déroulement des événements

• 19h à 20h – Dans la soirée, avant de partir, on a effectué des lectures de base sur les sujets en se servant de l’UTS.

Après avoir effectué leurs premières lectures de base avec l’UTS, les aspirants spirituels ont reçu pour instruction de ne pas consommer la nourriture, ou l’eau du Centre de Recherche Spirituelle et Ashram. Ceci parce que ce sont de puissants stimulants positifs. Pour la même raison, les aspirants ont également reçu l’instruction de ne pas répéter le Nom de Dieu, ni d’exercer une activité quelconque liée à la pratique spirituelle, comme penser à Dieu, éveiller une émotion spirituelle, partager des expériences spirituelles, faire le satsēvā, etc. On a également demandé aux aspirants de porter des vêtements qu’ils auraient choisis pour aller à une fête, et on a demandé aux dames de se maquiller. En gros, l’équipe de recherche a essayé de reproduire de manière authentique ce qui se passe dans le cas d’une personne normale, lors des célébrations du nouvel an.

• 20h30 à 22h – Voyage vers les lieux et arrêt pour prendre une collation (nourriture végétarienne). Sur le trajet, les sujets ont écouté des chansons populaires et ont également chanté sur ces chansons.
• 10 pm – Les participants de l’expérience sont arrivés sur les lieux.
• 22h à 4h30 – Sur les lieux
  • Les aspirants ont dansé sur la musique. Les genres de musique étaient la pop et le rock. Il n’y avait pas de musique trance ou de « heavy metal ».
  • Durant cet intervalle, les participants-aspirants ont mangé des amuse-bouches végétariens et ont bu de l’eau minérale achetés sur place.
  • Les aspirants n’ont pas consommé d’alcool, n’ont pas fumé de cigarettes, et n’ont pas pris de drogues illégales.
  • Les aspirants ont continué à danser jusqu’à 4h15.
• 4h30 – Les aspirants ont quitté les lieux
• 4h30 à 5h20 – Les aspirants ont quitté les lieux à 4h30 le 1er janvier 2019, et sont revenus au Centre de Recherche Spirituelle et Ashram à 5 h 20.
• 5h20 à 6h – À leur arrivée, on a immédiatement pris les lectures UTS des aspirants à l’extérieur du Centre de Recherche Spirituelle et Ashram, de sorte que le niveau élevé de positivité dans le Centre de Recherche Spirituelle et Ashram n’affecte pas la lecture.

3.2 Lectures UTS

Il y a 4 types de lectures UTS

• IR et UV : Les lectures de l’énergie négative sont de 2 types et sont désignées par IR (infrarouge) et UV (ultraviolet). IR désigne une forme légère de vibrations négatives, tandis que UV désigne une forme plus intense de vibrations négatives.
• PA : Cela dénote une aura positive.
• MA : Ceci dénote l’aura totale mesurée, qui est spécifique au sujet duquel on prend les lectures.

L’équipe de recherche a fait grand usage de cet instrument, a savoir que l’équipe a procédé à environ 10 000 lectures sur des objets sur une période de 5 ans ; et l’équipe a constaté que l’UTS est assez précis et corrobore les lectures obtenues à travers le sixième sens.

Toutes les lectures UTS des participants sont devenues nettement plus négatives après la célébration du Nouvel An.

Le graphique ci-dessous montre à quel point les lectures de l’aura négative IR ont augmenté pour chacun des participants de l’expérience. Pour les aspirants avec une détresse spirituelle, l’augmentation moyenne de l’aura négative IR en mètres était de 343%. Pour les aspirants considérés positifs, l’augmentation moyenne de l’aura négative IR en mètres était de 354%. Les candidats considérés comme positifs ont par la suite déclaré, qu’en prévision de cet événement, leur esprit était extraverti, moins stable et restait concentré sur la célébration du Nouvel An à venir. Cela pourrait expliquer l’aura négative IR détectée chez tous les aspirants positifs au début de l’expérience, lors de la prise des lectures de base.

Comme indiqué précédemment, les lectures d’aura négatives UV indiquent une forme de détresse spirituelle plus intense. Dans le tableau ci-dessous, on peut constater que l’augmentation moyenne des lectures de l’aura négative UV pour les aspirants qui ont une détresse spirituelle est de 291%. Pour les aspirants considérés positifs, tous sauf un ont développé une lecture UV, ce qui est très inhabituel. Une détection des lectures UV peut indiquer une possession démoniaque ou une détresse spirituelle qui, si elle n’est pas surveillée, pourrait conduire à une possession démoniaque.

Remarque : A ce jour, il s’agit des niveaux les plus élevés d’auras négatives IR et UV détectés par l’UTS au Centre de Recherche Spirituelle et Ashram. Cela indique la sévérité de l’impact que cette expérience a provoqué sur les aspirants au niveau spirituel ; et cela donne ainsi une indication de la sévérité de l’effet que les célébrations du Nouvel An peut avoir sur la conscience des participants.

Il est important de noter que de telles augmentations radicales de la négativité ont été observées malgré le fait que les aspirants n’avaient pas consommé d’alcool, ou des substances psychoactives, ce qui est normalement le cas lors de tels événements. S’ils s’étaient livrés à ces activités dans le cadre de cette expérience, les répercussions auraient pu être bien pires.

3.3 Constats obtenus à travers le sixième sens

Tandis que des instruments tels que l’UTS sont d’excellents outils pour la recherche spirituelle, la vraie mesure et analyse des vibrations subtiles ne peuvent être effectués qu’à travers le sixième sens, qui doit être d’un niveau très avancé. Il y a des aspirants dans l’équipe de recherche spirituelle qui peuvent réellement percevoir les vibrations émises par des personnes et des objets. En les dessinant, ils agissent comme des rayons X spirituels, et nous éclairent sur la nature des événements, tels que les célébrations du Nouvel An.

Sa Sainteté (Mme) Yoya Vallee, une Sainte qui fait des dessins sur la base de la connaissance subtile, a constaté qu’un niveau intense de vibrations subtiles de détresse était généré pendant de telles festivités. Les gens étaient couverts de vibrations de détresse, et une énergie créatrice d’illusions (Mayavi-shakti) était générée. L’énergie provoquant des illusions qui était générée, rendait les gens attrayants ; cependant, c’était illusoire. Les énergies négatives étaient présentes et actives, affectant en masse les gens ainsi que l’environnement. Dans l’ensemble, la célébration du Nouvel An à minuit a eu un effet extrêmement préjudiciable sur les personnes présentes lors de telles festivités.

4. Commentaires recueillis des aspirants

Les aspirants participant à l’expérience ont été interrogés dans le cadre d’une étude, pour savoir comment ils se sentaient avant de se rendre sur les lieux, pendant les célébrations, et le lendemain. En raison d’une pratique spirituelle régulière, leur sixième sens est éveillé, et ils sont donc en mesure de percevoir les vibrations subtiles qui sont présentes lorsqu’ils assistent à de tels événements. Ce qui suit est un résumé de ce qu’ils ont ressentis pendant et après l’expérience.

Avant de partir

La plupart des aspirants ont remarqué une augmentation de pensées extraverties après avoir appris qu’ils iraient au réveillon du Nouvel An. Leur esprit était rempli de pensées sur la façon dont ils allaient s’habiller, sur le sexe opposé et, sur le besoin d’attirer l’attention des autres. En outre, les pensées liées à la pratique spirituelle ont réduit.

Pendant l’expérience

Au cours de l’expérience, les aspirants ont principalement observé que l’environnement de l’endroit était spirituellement négatif et était rempli d’une énergie génératrice d’illusions (Mayavi-shakti). Les aspirants ont ressenti que les énergies négatives étaient en train de se manifester et de danser au milieu des personnes présentes sur les lieux. Les aspirants ont senti qu’ils étaient eux aussi affectés par les vibrations de détresse des lieux. Les aspirants qui souffraient de détresse spirituelle ont compris que les énergies négatives qui les possédaient commençaient à se manifester. Les manifestations n’étaient pas visibles et elles étaient plus sous la forme de ressentir le besoin de danser et, dans certains cas, il y avait une augmentation des pensées sexuelles.

Le lendemain de l’expérience

Les aspirants se sentaient exténués, souffraient de courbatures et avaient un faible niveau d’énergie. Ils n’avaient pas envie de faire quoi que ce soit. Selon les aspirants, ces sentiments ont duré 1 à 3 jours après la fête. Ils ont également senti que leur esprit et leur intellect étaient assombris, et ainsi ils n’avaient pas de clarté d’esprit au cours de leurs occupations quotidiennes. Les aspirants souffrant de détresse spirituelle ont mis plus de temps à retrouver leur état normal après, malgré la prise de mesures de guérison spirituelles.

Vous trouverez ci-dessous certains commentaires des aspirants sur leurs ressentis au cours de l’expérience.

1. L’environnement était chargé de vibrations Mohini (séduisantes) et Māyāvi (illusoires).
2. Avec la musique retentissante, j’ai ressenti une pression sur mon Anahat-chakra (chakra du coeur).
3. L’endroit semblait générer sa propre énergie, ce qui m’a permis de danser pendant des heures et des heures, et j’aurais pu continuer encore bien des heures après notre départ. C’était un pouvoir négatif et elle avait sa propre force. J’ai ressenti que certains des musiciens avaient une détresse spirituelle.
4. J’ai senti que l’énergie négative qui m’affectait obtenait beaucoup d’énergie de cet environnement.
5. Même si j’ai eu plusieurs crampes vers la fin de l’expérience, j’avais cette envie de continuer à danser une fois que je me sentais mieux.
6. A l’exception des aspirants, j’ai eu l’impression que l’environnement et les gens étaient négatifs. Les gens étaient saoûls et complètement plongés dans une jouissance illusoire, comme s’ils étaient dans un rêve.

5. Mot de conclusion

Célébrer le réveillon du Nouvel An dans une discothèque ou un bar peut sembler un moyen inoffensif de célébrer une occasion festive, mais cette expérience montre qu’elle peut nous impacter significativement sur le plan spirituel. La négativité spirituelle que l’on récolte en agissant de la sorte peut affecter une personne pendant de longues périodes. Bien que les effets secondaires puissent ne pas être visibles immédiatement, l’augmentation de la détresse spirituelle peut accroître les symptômes tels que des maux et douleurs, des pensées négatives et la vulnérabilité spirituelle. Les lectures alarmantes d’aura UV qui sont très négatives, détectées par l’UTS, même chez les aspirants qui sont spirituellement positifs, indiquent une vulnérabilité spirituelle accrue lorsqu’on participe à un tel événement. La persistance de lectures d’aura négatives UV indique que la personne peut être possédée par des énergies négatives. Ces découvertes ne s’appliquent pas uniquement à la célébration du Nouvel An, mais indiquent en général que le fait de se rendre dans les bars et les discothèques, affecte une personne négativement, sur le plan spirituel. En outre, on doit reconsidérer la norme de la société, qui consiste à célébrer le Nouvel An à minuit. Cela est dû au fait que c’est le moment où les activités des énergies négatives sont très élevées dans l’environnement, et représente un problème spirituel qui est voué à se produire.

Tout comme nous veillons – sur le plan physique – à ne pas nous rendre dans des endroits qui sont physiquement contaminés ; il est également important, sur le plan spirituel, de ne pas visiter ou rester dans des endroits qui sont spirituellement pollués. Si on pratique régulièrement et sincèrement la spiritualité, alors celle-ci nous aide à se remettre des stimulants qui sont spirituellement nuisibles. Pour ceux qui ne réalisent aucune forme de pratique spirituelle dans leur vie, le processus de se remettre spirituellement peut ne jamais avoir lieu. Ils restent alors plongés dans une couverture d’énergie noire négative, qui les affecte négativement et insidieusement à leur insu.

Une pratique spirituelle régulière nous aide à acquérir l’énergie positive nécessaire pour surmonter toute négativité que nous aurions pu attraper lors de telles célébrations. Aussi, cela nous rend spirituellement plus purs (sāttvik); qui  son tour, influence nos choix et nos modes de vie de manière spirituellement positive, de sorte que nous sommes naturellement peu enclins à de telles activités. Nous sommes alors capables de vivre d’une manière spirituellement positive et d’aller vers la réalisation de Dieu, qui est le but spirituel de la vie.